I – PERSONNES CONCERNEES
Tous les citoyens, et en particulier les adhérents du Cercle des Citoyens Patriotes et les lecteurs de Minurne-Résistance, mais aussi tous ceux qui rejoindront la plate-forme de coordination, et d’une manière générale tous les patriotes soucieux de préserver les acquis de la France, peuvent apporter leurs contributions, chacun pour ce qui le concerne, en communiquant sur une adresse spéciale, tout événement, prévu ou récemment survenu, susceptible d’être considéré comme une atteinte aux intérêts de la France.
II – COLLECTE ET SUIVI DES INFORMATIONS
Les déclarations seront enregistrées par l’O.R.G. et portées à la connaissance des citoyens et des médias par tous les moyens disponibles. Un suivi rapproché sera réalisé pour contrôler l’évolution de chaque affaire identifiée.
III – NATURE DES INFORMATIONS A COLLECTER
On peut classer les éléments relevant du risque génocidaire de la manière suivante :
– Manifestations, autorisées ou non, clairement hostiles à la République, à la culture et aux coutumes de la France.
– Manifestations en faveur de criminels ou de délinquants ou de leurs complices avérés, ayant attenté aux intérêts de la France, ou perpétré des attentats ou fomenté des tentatives d’attentats contre la population française dans le but de semer la terreur, avec la volonté d’intimider, de blesser ou de tuer.
– Organisation de prières de rues, blocages de circulation, créations durables de « zones de non-droit », dégradations volontaires de véhicules, de boutiques, de commerces ou de mobilier urbain ; refus d’obtempérer aux injonctions des forces de l’ordre, menaces et intimidations diverses.
– Construction ou projet de construction d’édifices religieux sans autorisation, ou contraires à la loi et aux règlements.
– Construction ou projet de construction d’édifices religieux au moyen de financements étrangers originaires de pays connus pour leur hostilité envers les libertés démocratiques et les coutumes de la France.
– Pratiques illégales, illicites ou non-réglementaires ou contraires aux usages de la France, (incluant les mutilations médicales à caractère prétendument religieux comme l’excision).
– Egorgement d’animaux sans étourdissement préalable et toutes pratiques cruelles envers les animaux.
– Harcèlement et rackets, racisme à caractère récurrent dans les établissements scolaires, publics ou associatifs.
– Occupation de fait, temporaire ou permanente, de locaux, d’entrées d’immeubles, de voies publiques ou privées, dans le but d’empêcher la liberté de circulation et/ou d’intimider les résidents.
– Prêches religieux à connotations subversives et/ou hostiles aux lois, règlements et coutumes de la France.
– Pratiques illicites, fondées sur l’intimidation, ayant pour but d’empêcher le bon fonctionnement du commerce, des transports, des organismes et services publics.
– Dégradation volontaire de biens publics ou religieux, individuellement ou en bande organisée.
– Violences individuelles ou en bande organisée et intimidations diverses à caractère sexiste
– Violences individuelles ou en bande organisée et intimidations diverses contre les représentants du maintien de l’ordre et des services de secours, des personnes dépositaires de l’autorité publique et administrative, y compris les personnels hospitaliers.
Etc.
IV – MODALITES DE TRANSMISSION DES INFORMATIONS
Toute personne témoin de l’une ou l’autre de ces exactions (la liste n’est pas exhaustive), ou anticipant une action de type génocidaire pourra la faire remonter au secrétariat de l’O.R.G. précisant les informations suivantes qui resteront confidentielles :
– Identification du ou des déclarants (si possible 2 personnes minimum) : nom, prénom, adresse, téléphone, adresse mail…
– Date de l’envoi
– Description la plus précise du fait entrant dans le cadre du risque génocidaire. Photos et vidéos éventuelles.
– Attestation sur l’honneur et signature
V – SUIVI ET COMMUNICATION
Selon une périodicité à déterminer, les faits signalés feront l’objet d’une publication sur tous les sites patriotes, les réseaux sociaux, et portés à la connaissance des élus et autorités publiques concernés.
Des actions judiciaires pourront éventuellement être déclenchées par l’une ou l’autre des personnes physiques ou morales impliquées dans la plate-forme de coordination.